MANON BEAUREGARD
DESIGNER EN BONNETS DE CHIMIO
Au jeune âge de 25 ans, Manon reçoit un diagnostic de cancer ovarien.
Maman de deux jeunes garçons, dont un nouveau-né, cette nouvelle vient bousculer fortement son quotidien, mais elle choisit d’adopter une attitude positive et de faire face à la maladie avec tout son courage. Battante de nature, elle se retrousse donc les manches et ne se laisse pas abattre.
À la suite d’une opération ayant pour résultat l’ablation de ses ovaires et de son utérus, elle doit suivre des traitements de chimiothérapie et elle y laissera momentanément une bonne partie de sa chevelure.
Par sa persévérance Manon a vaincu son cancer
À la suite de cette bataille, dont elle sort vainqueur, Manon vit un nouveau départ et celui-ci réorientera toute sa vie : elle décide d’aider les personnes atteintes de cancer en suivant une formation en trichologie, la science spécialisée dans l’étude des cheveux.
Repartir à zéro
Pour elle, survivre au cancer aura été l’occasion de repartir à neuf. Comme elle le dit si bien : «Mon cancer c’est comme un livre : je l’ai lu complètement, j’ai vécu et ressenti son histoire, je l’ai terminé et je l’ai refermé. Ensuite, j’ai commencé un nouveau livre… je suis repartie à zéro.».
C’est donc sa mission de vie qui se concrétise dans IÃSO.
A à coeur votre féminité, tout en douceur
Manon souhaite vous soutenir durant cette période mouvementée. Via ses conseils et les bonnets, bandeaux et foulards choisis avec soin dans la boutique en ligne, elle espère alléger un peu le poids de votre réalité et vous apporter une certaine paix d’esprit. Manon a parcouru cette route plus ardue sur laquelle vous cheminez présentement et elle tient à vous adresser un message porteur d’espoir et de courage.
«Vous roulez allègrement sur l’autoroute et soudainement, à la suite du diagnostic, vous vous retrouvez sur un chemin de terre, rempli de bosses où vous êtes contraint de diminuer votre vitesse. Vous ne pensez qu’à retourner sur l’autoroute, pour que la vie reprenne son cours normal, mais il vous faut parcourir le chemin de terre jusqu’au bout…».